Milo, 70 ans, le mari de ma marraine, avait une 4cv semblable
avec 6 baguettes de calandre et non 3
j'avais 8 ou 10 ans, nous allions à La Bourrellière, 15 kms en aval de Tours, prendre des ablettes et des gardons (1958, 59)
alors, le 25 juillet dernier, en sortant du bac (Indre/Indret), quand j'ai vu cette 4cv, le conducteur m'a vu et m'a accordé tout de suite le droit de prendre la photo
la drague St Germain le 1er août
encore aujourd'hui je pense que le commandant a pris des risques : l'eau affleurait, au risque de faire couler le bateau
au loin, la tour à plomb de Couëron, le 17 août
la Guifette, une des 3 vedettes hydrographiques (spécialisée pour mesurer les profondeurs)
le Angon, cargo portugais, CU 3000t, le 21 août, devant l'Entreprise coueronnaise Carnaud (laminoirs, tréfilages) rebaptisée Arcelor Mittal
plongeurs en cours d'enquête (aval du Pont de cheviré) le 22 août
Dernier café avant Basse-Indre (photo prise à Haute-Indre le 22 août)
Mine de rien, Basse-Indre est encore à 900 mètres
on ne peut pas partir comme ça sans être sûr qu'on a fait le plein de gamma GT
Que dirait Dionysos ?
là, on est devant la DCNS, le 23 août, le cargo hollandais Beaumaiden est venu décharger ou charger on ne sait quoi, c'est secret défense
et voilà le bizou (comme on dit à Diego) : une 203 Peugeot de 1949
mon père en avait une en 1958 (j'avais 9 ans), vite revendue car il n'avait pas les moyens
toit ouvrant
la lunette arrière ne sera agrandie qu'en octobre 1952
flèches motorisées en guise de clignotants
ah, les vitesses au volant
il y a 10 jours, mon taxi-brousse 404, de Ramena à Diego, avait aussi les vitesses au volant
mais à l'arrière, c'était pas des ressorts hélicoïdaux, c'était des lames de ressort et y en avait plus de 10
ce matin, le pilote du François II a dû se demander s'il faisait ses rotations : l'eau voulait encore submerger les parkings
dans un épais brouillard
7 novembre 2012, 19h