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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 21:35

GMC3

mon père en 1955, en Touraine, devant son camion-pelle GMC (essence!) des Ponts & Chaussées (matériel américain réaffecté) ; chaque hiver de mon enfance, ma mère inquiète à partir de 20h s'il y a du verglas et que mon père n'est pas encore rentré ; il m'a emmené passer la journée avec lui 3 fois, ses compagnons de travail étaient 3 fois plus baraqués que lui et buvaient 3 fois plus. Sur les imprimés, jusqu'en 1967, dans la case "profession du père" j'ai toujours marqué "grutier".

Qui dira la vie des grutiers, ces lévites ?
Ils ne sont qu'à quelques dizaines de mètres du sol, alors on les oublie. Pourtant, sans eux, ce serait échafaudages dangereux, pénibilité du travail et productivité zéro. Tout le monde ne peut pas monter chaque matin 40 mètres sur des échelles métalliques aussi incommodes que celles des spéléos, sandwich et thermos dans le sac à dos. Là-haut : coups de soleil, gel ou surchauffe, solitude (sauf depuis quelques années avec les portables), hurlements du vent, danger des lignes électriques, gîtes et balancements inquiétants du métal martyrisé et grosses très grosses responsabilités vis-à-vis des copains d'en-bas. Et chaque soir immobiliser la flèche dans la direction du vent.

 

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A mon retour le 16 octobre dernier, j'ai assisté à l'assemblage de cette grue à 50 mètres de chez moi
le presbytère (ô Colette!) a été démoli, et des dizaines de T2 T3 T4 T5 vont être construits.

 

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On 29 of october, hurricane Sandy devastates NYC

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Le 27 octobre je prends le navibus de Trentemoult à Chantiers Navals et photographie cette grue encore en activité

P1140229 (Large) et celle-ci, retraitée (chantiers Dubigeon fermés en 1987)

 

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Le Croisic, 2 décembre

 

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aujourd'hui 10 décembre : laveur de vitres (Océane, Rezé) 10 décembre 2012

ô Albinus, mon grand-père-parrain, combien de vitres des sky-scrapers lavas-tu entre 1906 et 1913 à Brooklyn ?

 

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centre de Nantes aujourd'hui

 

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regardez bien : on voit les jambes du grutier

 

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il y a aussi hélas des grues symboles d'erreurs humaines : ici, celles de l'EPR de Flamanville, une facture triplée, payée par le consommateur

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 15:36

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La voûte est haute pour l'époque (22 m). Un chapiteau très ancien semble être celui de Saint Pierre crucifié la tête en bas. Sur plusieurs chapiteaux, des combats entre cavaliers et hommes d'armes, peut-être liés aux croisades. Aigles, monstres, griffons, dragons, sirènes à double queue.

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où l'on découvre une source d'inspiration de Escher : jeux de lumière dans les voûtes au fil de la journée

 

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baies géminées de la nef centrale avec échos sonores

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 13:47

 

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  C'était le 14 août, il y a 15 jours, j'étais de passage à Conques (Aveyron). Dans un écrin naturel verdoyant, au bord du Dourdou, la célèbre abbatiale s'offrait.
Des hommes du XIIè siècle nous ont fait ce cadeau indémodable. A déguster sans modération. En silence (piaulements d'oiseaux autorisés). Des milliers et des milliers de pélerins sur la route de Saint-Jacques ont scruté aussi, des siècles durant, ce clocher, ce cloître, cette croisée, ce chevet, ces chapiteaux, ces voûtes, ces voussures, ce tympan, ces nefs, ces absides, ces absidioles, ces allégories de pierre, y ont lu toute la gamme des émotions humaines jusqu'à l'ekstasis. Des chevaliers, des paysans, des moines venus de loin.
Le tympan compte 124 personnages. En haut, dans les angles, deux anges sonneurs de cor, au centre le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, les damnés à sa gauche. Derrière lui les anges portent la Croix et le fer de lance évoquant la Passion.
Dans l'étage médian la Vierge Marie et Saint-Pierre (personnages nimbés), suivis par les personnages ayant marqué l'histoire de l'abbaye : l'abbé Dadon (son fondateur), Charlemagne (son bienfaiteur). Dessous, Sainte-Foy sous la main de Dieu, à côté des menottes des prisonniers qu'elle a libérés. De l'autre côté des anges-chevaliers repoussent les damnés essayant d'échapper à l'Enfer, de mauvais moines, un ivrogne pendu par les pieds.
Dans le troisième niveau, à gauche, le Paradis présidé au centre par Abraham, à sa porte un ange fait entrer les élus. La partie droite est consacrée à l'enfer où préside Satan, et où sont châtiés les péchés capitaux : L'orgueil, désarçonné d'un cheval, L'avarice pendue haut et court avec sa bourse, la médisance dont la langue est arrachée par un démon, l'adultère représenté par une femme, poitrine dénudée, liée par le cou avec son amant. Sur le linteau on peut lire la phrase suivante : « Pécheurs, si vous ne réformez pas vos mœurs, sachez que vous subirez un jugement redoutable ». (source : wikipédia)
Au centre du cloître, le bassin claustral de serpentine verte, grande fontaine de 2,72 m de diamètre. Ce cloître, construit aux XIe et XIIe siècles, comptait un grand nombre de chapiteaux. On peut admirer encore dix-neuf.

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  le château de Humières

 

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 23:45

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Si je ne m'étais pas marié, je n'aurais pas pu divorcer.
Si je n'avais pas divorcé, je n'aurais pas rencontré celles que je vais retrouver.
Si, en 2007, j'avais pu travailler au Maroc, je ne serais pas allé dans ce pays le mois dernier.
Si, en avril 2000, je n'avais pas échangé par mail avec Eric et François, nous n'aurions pas créé une liste de discussion qui m'a permis de rencontrer Noro en 2009, laquelle m'a fait rencontrer Nova sur le Dimitile, Nova grâce à qui j'ai apporté des graines oléagineuses à Mary-Claude à Antsirabe, ce qui m'a conduit à parler avec Chantal, qui a donné un an plus tard, sans que je le sache, mes coordonnées à Hélène, qui, ô bonheur, vint me voir à Ramena où elle aida Aretha à faire la classe aux poupons de CP en novembre 2010.
Si Hélène n'avait pas parlé à ses amis de mon désir de randonner dans le Haut-Atlas, je n'aurais pas rencontré Jean-Pierre, un ami de ses amis, grâce à l'eau de vie duquel je vais pouvoir continuer à faire du vin de noix, et Dieu sait si le vin de noix, pour un tourangeau, c'est sacré.
Si un cyclone, une maladie, un mari jaloux ou un accident d'avion m'avait envoyé dans l'Hadès, je ne tiendrais pas en ce moment un stylo dans la main droite, et vous ne seriez pas en train de lire au lieu de faire autre chose.
Si la conjonction de coordination "si" n'existait pas, il faudrait l'inventer, si señor.
Si 6 scies scient 6 cigares, 606 scies scient 606 cigares.
Si la cigale avait économisé, La Fontaine n'aurait pas écrit sa fable.
Si Alexandre n'avait pas créé Fabula, je n'aurais pas su en 2003 l'existence du Colloque d'Albi et je ne serais pas en ce moment dans un restaurant au pied de la cathédrale Sainte-Cécile, à 2 pas du musée Toulouse-Lautrec qui fait la fierté de la ville natale du peintre.
Si les frères Lumière n'avaient pas été géniaux, ils n'auraient pas inventé le cinématographe.
Si le Boson de Higgs n'existait pas, ça se saurait.
Si la serveuse est sympa, elle va me dire le nom du perroquet du restaurant qui, depuis 1h, assure l'animation de l'établissement avec un répertoire qui ferait pâlir Loulou, le perroquet de Flaubert : lexique, bruitages, timbres, modulations vocales.
Et voilà, c'est Zoé. Qui vient de prononcer distinctement "Bonjour", "profiterolles" et qui sait miauler et aboyer.
Si en 1987, j'avais accepté la nomination farfelue que m'avait trouvée le rectorat, je n'aurais pas rencontré Monique à Cholet, ni croisé peu après mon ex au CRDP, où le recteur, très inspiré, déclara, devant des centaines de lauréats aux concours : "vos nuits sont à vous, mais vos jours sont à l'Etat", ce à quoi j'ai répondu du tac au tac et tout fort sans faire exprès : "Oui mes nos nuits sont plus belles que vos jours".
Si, en 1980, des règles irrationnelles et même surnaturelles, régissant les nominations des admis aux concours ne m'avaient pas relégué aux confins de mon académie, je n'aurais pas rencontré Eliane ni découvert grâce à elle l'oeuvre de Joe Bousquet.

 

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Zoé

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 11:55

residence administrateur

photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana 82 235 83  82 212 06

L'article diego-suarez 2 : architecture du 24 mars 2009 contient déjà quelques photos qui suggèrent le passé colonial de la ville. Comme j'ai acquis hier quelques cartes postales d'époque, il est tentant de comparer. 1904, 1907 indiquent les tampons qui oblitèrent les timbres-poste de ces cartes. Surannées ces évocations ? Pas autant que le sont aujourd'hui les clichés d'une ville européenne en 1900 : les pousse-pousse sont toujours là, le même phare garde l'entrée du port, les mêmes architectures balisent le quartier français, mais en version fantôme certes, en spectral, en poussiéreux, en lavis. Excuses pour la mauvaise qualité photo, mais je n'ai plus qu'un petit coolpix bas de gamme et âgé, un sort funeste ayant décidé que mon Olympus pouvait faire le bonheur d'un autre.

La résidence du Gouverneur fut bâtie fin XIXè par Ernest Froger, 1er gouverneur de Diego. Située en bas de la rue Colbert, elle donne sur la mer et abrite aujourd'hui le siège de la Région Diana.

 

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Presque en face : le Tribunal. De style néoclassique, avec un fronton triangulaire, il semble rappeler que le Droit échappe à un cadre spatio-temporel donné. La gracieuse nymphe de son jardin a disparu. Elle fait sans doute les délices d'un amateur d'art passionné...

 

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  photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

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Dans la même rue Richelieu, 30 mètres plus loin, le square Clémenceau et son kiosque à musique. Ah les dimanches après-midis où la fanfare venait offrir des concerts au colonisateur ! La lyre faîtière a là-aussi disparu chez un amoureux des muses sans doute ...

 

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  photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

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Trente mètres encore et c'est l'Hôtel des mines, appelé de nos jours Hôtel de la marine. Voilà un hôtel dans lequel nous aurions aimé dormir quelques car j'ai lu je ne sais plus où qu'il accueillait encore des clients au début des années 80, avant que le cyclone Kamisy ne le ravage en 1984. Hôtel des mines, car c'est un sympathique aventurier nommé Alphonse Mortages, débarqué en 1897 à Diego, qui l'a fait construire pour bien montrer qu'il avait fait fortune dans les mines d'or d'Andavakoera. Didier Daeninckx raconte son histoire dans http://www.amnistia.net/biblio/recits/madagascar_802.htm. Voici ce qu'en dit le romancier Jean d'Esmes dans L'île rouge en 1928 : "Gardant sans doute un souvenir tenace de sa première profession et revenant à ses vieilles amours, l'heureux mineur fit construire, en ce Diego-Suarez aride et inhospitalier aux touristes, un hôtel, mais un hôtel confortable, vaste, coquet avec son patio intérieur, ses arcades nombreuses, ses chambres larges et aérées, sa longue salle à manger et son billard envahis de fraîcheur, et sa terrasse ouverte sur la grande féerie de la baie. Comme de juste, il l'appela l'hôtel des Mines. Après quoi, satisfait d'avoir ouvert à ses compatriotes et aux étrangers de passage un asile accueillant au milieu de l'aride et brûlante Diego-Suarez, notre homme se ruina".
L'établissement fut récupéré par la Banque de Madagascar et des Comores, puis par l'armée française, puis par l'armée malgache avant que le cyclone Kamisy ne siffle la fin de la récréation.

Photos suivantes :
Encore une comparaison à un siècle de distance : la descente vers le port. La forte pente explique que deux tireurs de pousse soient nécessaires.
Quelques bâtiments dont je n'ai pas trouvé trace aujourd'hui : le comptoir national d'escompte (1902, 1er établissement bancaire), l'ancienne poste et le poste optique.
Quelques bâtiments qui eux, témoignent : celui occupé aujourd'hui par la banque BMOI, celui de l'Alliance française récemment repeinte et l'hôpital.

Enfin, vous vous plaignez des raffineries bloquées en ce moment en France ? Prenez un zébu !

 

tireur pousse

  photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

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photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

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photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana 

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  photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

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la BMOI

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Bazary Be

le grand marché, construit en 1892, a succédé au petit marché en plein air de la ville basse progressivement abandonné au profit du bazary kely ou tsena (prononcer tsen) de tanambao, il fut repris et réhabilité par l'Alliance française en 1989. Son architecture métallique provient de l'atelier Eiffel.

 

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l'hôpital de Diego

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zebu monte

photo : Association Ambre, immeuble Socra, 25 rue François de Mahy, Antsiranana

Je dois de grands remerciements à l'Association Ambre qui a publié 4 dépliants sur Diego dans lesquels j'ai puisé de nombreuses informations. J'espère à l'avenir l'aider à mon tour.

 

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 01:45

 

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d'abord un aveu
en 1985, j'ai vu pour la 1ère fois de ma vie, les nymphéas du Jeu de Paume et j'ai pleuré
beaucoup, comme une madeleine (oui Proust)
je n'ai donc pas eu de peine à prendre des photos à Giverny il y a quelques jours, ni à rebloguer avant-hier (oui je sais plus d'un mois d'absence, je m'en expliquerai sans doute bientôt)
il y a aussi fort émotionnellement : ce sont les cathédrales de Rouen, travail sériel
on m'a reproché récemment en commentaire d'avoir osé couper la flèche de cette cathédrale dans une photo (prise du gros-horloge)
j'en suis marri et contrit
il suffisait en effet d'utiliser une lentille de plus grand angle
mais les cordonniers sont les plus mal chaussés
je me contente pour quelque temps encore d'un appareil à 250 euros très limité
et je récidive avec des fragments de cathédrale (Notre-Dame de l'Assomption) pris il y a quelques jours, afin de faire écho à l'expo du festival Normandie impressionniste au musée des Beaux-Arts de Rouen qui consacre une salle aux cathédrales
mais promis, je vais économiser et acheter un meilleur appareil pour ne plus couper et humilier les amateurs d'art
Monet a travaillé 2 ans et 3 mois sur ces cathédrales (1892-93), passant de l'euphorie quand la météo et la lumière inventent une nouvelle  cathédrale improbable et inaperçue au désespoir noir lorsque le moral s'effondre et que les tympans dans l'ombre proposent des choses qui défrisent les pinceaux et font tomber les cheveux : temps gris, effet de soleil, fin de journée, harmonie bleue, effet du matin, harmonie brune, soleil matinal, harmonie grise, harmonie blanche, plein soleil, harmonie bleue et or
Les photos sont interdites dans l'expo, mais j'ai acheté à Giverny un cédé qui contient 10 cathédrales en .jpg (sur 28), 10, juste le nombre de cathédrales exposées au musée des Beaux-Arts de Rouen.
pour + d'infos, voyez le book de Marianne Alphant ("cathédrales de Monet" édition Point de vue) et le Découvertes Gallimard sur Monet (je ne les ai pas sous les yeux, ils sont à la Rényon)
Cet article pour une 2è raison : le calendrier de restauration de la façade de cette cathédrale est arrivé cet été dans sa phase ultime : la restauration des tympans Saint-Romain et Saint-Jean. Pour voir le résultat : patience. Que sont quelques mois au regard des siècles qui nous séparent du travail du premier sculpteur ?

 

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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 15:25












Grâce à Christine, vous aurez l'adresse d'un site consacré aux lambrequins :
http://www.dma.ens.fr/culturemath/histoire%20des%20maths/htm/tournes/tournes_index.htm

Christine en parle comme "de jolies dentelles qui dessinent des caresses d’ombre, très douces, sur les murs des maisons écrasés de soleil". Elle a dessiné elle-même ce lambrequin d’angle, à partir de modèles trouvés dans un vieux livre mauricien et m'encourage à "bien regarder certaines maisons qui ont des clairevoies entières de lambrequins, au-dessus des fenêtres… ou des pans de cloisons de varangues. Comme des moucharabiés orientaux … derrière lesquels les regards filtrent ou bien les rayons de lune, ou ceux du soleil ?"


merci Christine
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