bonchien danois
Quand Margot dégrafait son corsage
Pour donner la gougoutte à son chat
Tous les gars, tous les gars du village
Etaient là, la la la la la la
Etaient là, la la la la la
Et Margot qu'était simple et très sage
Présumait qu'c'était pour voir son chat
Georges Brassens
ce moumoutes et bonchiens 40 sera très très moumoute et très peu bonchien ; c'est l'actualité qui fait ça ; on essaiera d'être plus équilibré la prochaine fois
Grâce à Yulia, mon étudiante slave préférée, la rubrique Moumoutes et bonchiens s'enrichit d'un pan culturel de choix : le versant islamique. L'Islam s'est toujours montré respectueux du chat,
davantage du moins que les religions juive ou chrétienne. Pour les musulmans le chat est une bête dotée de la baraka (chance) donc qui porte bonheur. La tradition raconte que le prophète Mohamed
possédait lui-même une chatte répondant au nom de Muezza. Celle-ci ne le quittait jamais et dormait volontiers sur l'un des pans de sa djellaba. Or, un jour, le Prophète devait se rendre à la
prière, mais ne voulut pas déranger Muezza alors il préféra déchirer son vêtement. A son retour, Muezza l'accueillit en exécutant devant lui une révérence fort gracieuse. Pour la remercier à son
tour, Mohamed passa trois fois la main sur son échine, lui accordant par cette caresse le don de toujours retomber sur ses pattes. Depuis ce jour, les chats ont gardé eux aussi ce privilège.
Pour les musulmans, nourrir des chats abandonnés, d'autant plus s'ils sont aveugles est un devoir et l'on s'exposerait à diverses malédictions en y manquant. Personne ne s'aviserait en Orient de
tuer un chat, surtout un chat noir car il pourrait s'agir d'un djinn (esprit) qui viendrait tourmenter l'auteur du crime.
http://blog.aufeminin.com/blog/seeone_176777_4530924/A-pas-de-velours/MUEZZA-une-chatte-prodigieuse
si vous voulez savoir tout ce que votre moumoute vous cache, alors une seule solution :
http://www.bbc.co.uk/news/science-environment-22567526
hier soir, comme presque chaque soir, dans mon jardin, Moumoute Fila s'entraînait au saut en hauteur avec Kanele, sa maîtresse préférée ; ne soyons pas étonnés si aux prochains cat's worldchampionship, Moumoute Fila remporte le titre de championne du monde de saut en hauteur et en longueur
après l'effort, l'athlète de haut niveau Fila a trouvé un carton pour récupérer et fuir les journaliss
nous terminerons cet article avec l'info qui secoue le toupari :
http://www.lepoint.fr/insolite/bientot-un-bar-a-chats-a-paris-les-defenseurs-des-animaux-s-inquietent-15-06-2013-1681213_48.php
Siroter un thé, un café, ou déguster une tarte en caressant un chat : une Parisienne veut ouvrir un salon de thé peuplé de chats, à Paris, "pour le bien être des clients", à l'image des Neko
cafés japonais, un projet qui inquiète les défenseurs des bêtes.
Margaux Gandelon, amoureuse des chats qui revendique les bienfaits du ronron sur la santé humaine, veut ouvrir son "bar à chats" en septembre 2013.
Les professionnels animaliers s'accordent à dire que le stress, l'insomnie ou l'anxiété peuvent aussi se soigner ponctuellement sans médicament grâce au ronronnement du chat.
Jean-Yves Gauchet, vétérinaire à Toulouse, qui revendique la paternité en France de la "ronron thérapie", assurait récemment à l'AFP que le ronronnement "apaise" et agit comme "un médicament sans
effet secondaire".
"Le chat est un éternel bébé qui aime se faire cajoler et ne demande qu'à jouer et dans certains cas il comble un manque affectif pour ceux qui n'ont pas d'enfant", ajoutait-il.
"J'ai toutes les autorisations et grâce à mes associés et au crowdfunding, un site de participation financière collective sur le web, j'ai réuni les 40.000 euros nécessaires", explique la jeune
femme de 26 ans qui veut loger ses chats dans le Marais.
"Ce sera un endroit zen et convivial. Les clients pourront caresser les animaux en buvant un thé ou un café ou bien en dégustant une tarte", dit-elle.
Claire Bentolila, comportementaliste animalier, trouve "cette idée géniale".
"Le chat est un anti-stress, il fait baisser la tension artérielle et nous ramène à l'instant présent", estime-t-elle. "Si on respecte sa nature indépendante et qu'il peut partir quand il en a
envie, tout devrait bien se passer".
Des matous de la SPA
Margaux Gandelon , en quête d'un local, dit qu'elle réservera une salle de repos à ses "greffiers" (chats en vieil argot).
Une fois dans ses locaux, elle compte adopter une dizaine de matous, "des laissés-pour-compte à la SPA pour leur donner une seconde chance".
Mais aujourd'hui, la SPA dit "avoir donné uniquement son soutien moral dans l'attente de l'ouverture du café".
"On est neutre. On attend de voir si le café ouvre. Alors, on ira voir si les chats seront bien installés avant de céder les bêtes de nos refuges", commente Oriane Vatin, porte-parole de la
SPA.
La porteuse du projet martèle que "les chats seront avant tout chez eux et qu'elle respectera leur indépendance".
"Ils viendront se faire caresser uniquement s'ils en ont envie. Pas question comme au Japon de réserver un chat une heure pour le cajoler !"
Plus réservé, Christophe Marie, de la Fondation Bardot, "n'apprécie guère que l'animal soit relégué au rang de d'objet".
"Ce qui me gêne dans la démarche c'est que l'animal soit relégué au rang de peluche. Les chats n'ont pas forcément envie d'être tripotés par les clients d'un bar", estime-t-il. "La Fondation
Brigitte Bardot ne souhaite pas voir ce genre d'initiative se multiplier."
Reha Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d'amis, s'interroge aussi sur le bien-être animal : "qui s'occupera des chats et dans quelles conditions en dehors des heures d'ouverture de
l'établissement ?"
Il reste deux mois à la jeune femme amoureuse des chats pour apporter des réponses et rassurer les défenseurs des bêtes.